Nouvelles tendances de la réglementation des cryptomonnaies dans plusieurs pays : la monnaie numérique chinoise intégrée dans la planification, Hong Kong envisage de créer un système de licence pour les actifs virtuels.
1. Le développement des monnaies numériques mentionné dans le 14ème plan quinquennal
Récemment, l'État a publié le texte complet des "Suggestions concernant l'élaboration du 14ème plan quinquennal de développement économique et social national et des objectifs à long terme pour 2035". Le document précise clairement qu'il faut "promouvoir de manière prudente le développement de la monnaie numérique". Les suggestions de planification soulignent également la nécessité de construire un système moderne de banque centrale, d'améliorer le mécanisme de régulation de l'offre monétaire et de perfectionner le mécanisme de formation et de transmission des taux d'intérêt sur le marché. Cela indique que la monnaie numérique a été intégrée dans le plan de développement au niveau national.
2. Hong Kong prévoit d'établir un système de licence pour les fournisseurs de services d'actifs virtuels
Le gouvernement de la région administrative spéciale de Hong Kong a récemment publié un document de consultation demandant l'avis du public sur la révision de la "Loi sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme". Le document propose d'établir un système de licence pour les fournisseurs de services d'actifs virtuels, exigeant que les institutions souhaitant exploiter une plateforme de trading d'actifs virtuels à Hong Kong doivent faire une demande de licence auprès de la Commission des valeurs mobilières et respecter les normes pertinentes. Les institutions titulaires d'une licence doivent se conformer aux réglementations sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, ainsi qu'à d'autres exigences réglementaires visant à protéger les investisseurs.
Selon les recommandations, exercer des activités d'actifs virtuels réglementés sans licence constituera une infraction criminelle, passible d'une peine maximale de 7 ans d'emprisonnement et d'une amende de 5 millions de dollars. Les institutions licenciées et leurs responsables qui enfreignent les exigences légales pertinentes pourraient également faire face à des poursuites pénales, avec une peine maximale de 2 ans d'emprisonnement et d'une amende de 1 million de dollars.
3. La Russie pourrait exiger la déclaration des revenus des actifs cryptographiques
La Douma d'État de Russie discute d'un nouveau projet de loi qui pourrait obliger les citoyens russes à déclarer leurs revenus et avoirs en "actifs électroniques" sur des plateformes étrangères. Cette initiative pourrait avoir un impact sur le commerce des cryptomonnaies. Le projet stipule que si le chiffre d'affaires annuel d'un citoyen sur une plateforme numérique étrangère dépasse 7730 dollars, il doit le déclarer à l'administration fiscale nationale. De plus, la loi donne aux législateurs et au service fédéral des impôts le pouvoir de réguler les portefeuilles de cryptomonnaies et les comptes de trading.
4. Les Pays-Bas délivrent pour la première fois des licences de plateformes de cryptomonnaies
L'échange de cryptomonnaies BLOX est devenu la première plateforme de cryptomonnaie destinée au marché de détail à obtenir l'approbation depuis la mise en œuvre de la 5ème directive anti-blanchiment de l'UE (AMLD5) aux Pays-Bas. La société a déclaré qu'elle était la première entreprise de cryptomonnaie enregistrée auprès de la banque centrale néerlandaise, permettant aux consommateurs d'acheter des bitcoins avec un investissement minimum de 1 euro. Cette approbation signifie que la cryptomonnaie reste ouverte au grand public. Aux Pays-Bas, toutes les entreprises autorisées à permettre aux utilisateurs d'acheter, de vendre, d'échanger et de détenir des cryptomonnaies doivent être enregistrées auprès de la banque centrale.
5. La Corée du Sud pourrait exiger des entreprises de cryptomonnaie qu'elles divulguent l'identité des utilisateurs
La Commission des services financiers de Corée pousse pour un amendement législatif qui exigera des prestataires de services d'actifs virtuels nationaux qu'ils signalent les noms réels de leurs clients. Cette mise à jour de la "loi sur le rapport et l'utilisation d'informations financières spécifiques" vise à prévenir le blanchiment d'argent. Selon cette loi, les prestataires de services d'actifs virtuels doivent utiliser des comptes au nom réel lors des transactions financières avec les clients. De plus, ces entreprises doivent ouvrir des comptes au nom réel auprès des institutions financières, séparer les dépôts des clients de leurs propres dépôts et obtenir la certification de sécurité des données de l'Agence coréenne de la sécurité de l'information.
6. Le Venezuela lance une bourse de cryptomonnaie d'État
Le gouvernement vénézuélien a récemment lancé une plateforme d'échange de cryptomonnaies d'État appelée Vénézuéla Exchange (VEX). Cet échange prendra en charge les transactions entre le Petro, le Bitcoin, le Litecoin et le DASH avec le Bolívar. Selon la déclaration de l'organisme de réglementation des cryptomonnaies du Venezuela, Sunacrip, VEX utilisera la "technologie P2P" et pourra être accessible et connecté via l'application de portefeuille cryptographique PetroApp, émise par le gouvernement. Cette initiative montre l'intérêt continu et l'engagement du gouvernement vénézuélien dans le domaine des cryptomonnaies.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
17 J'aime
Récompense
17
5
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
StakeOrRegret
· 08-13 18:48
La régularisation est-elle le début de se faire prendre pour des cons ?
Voir l'originalRépondre0
PretendingSerious
· 08-13 00:41
Il aurait fallu s'en occuper depuis longtemps !
Voir l'originalRépondre0
DaisyUnicorn
· 08-10 20:50
Le vent de printemps souffle sur le jardin numérique, les licences de régulation sont en fleurs sur les branches~
Voir l'originalRépondre0
MEVHunter
· 08-10 20:43
Le secteur des licences est à la traîne, les opportunités d'arbitrage s'évanouissent...
Nouvelles tendances de la réglementation des cryptomonnaies dans plusieurs pays : la monnaie numérique chinoise intégrée dans la planification, Hong Kong envisage de créer un système de licence pour les actifs virtuels.
Dynamique de régulation
1. Le développement des monnaies numériques mentionné dans le 14ème plan quinquennal
Récemment, l'État a publié le texte complet des "Suggestions concernant l'élaboration du 14ème plan quinquennal de développement économique et social national et des objectifs à long terme pour 2035". Le document précise clairement qu'il faut "promouvoir de manière prudente le développement de la monnaie numérique". Les suggestions de planification soulignent également la nécessité de construire un système moderne de banque centrale, d'améliorer le mécanisme de régulation de l'offre monétaire et de perfectionner le mécanisme de formation et de transmission des taux d'intérêt sur le marché. Cela indique que la monnaie numérique a été intégrée dans le plan de développement au niveau national.
2. Hong Kong prévoit d'établir un système de licence pour les fournisseurs de services d'actifs virtuels
Le gouvernement de la région administrative spéciale de Hong Kong a récemment publié un document de consultation demandant l'avis du public sur la révision de la "Loi sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme". Le document propose d'établir un système de licence pour les fournisseurs de services d'actifs virtuels, exigeant que les institutions souhaitant exploiter une plateforme de trading d'actifs virtuels à Hong Kong doivent faire une demande de licence auprès de la Commission des valeurs mobilières et respecter les normes pertinentes. Les institutions titulaires d'une licence doivent se conformer aux réglementations sur la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, ainsi qu'à d'autres exigences réglementaires visant à protéger les investisseurs.
Selon les recommandations, exercer des activités d'actifs virtuels réglementés sans licence constituera une infraction criminelle, passible d'une peine maximale de 7 ans d'emprisonnement et d'une amende de 5 millions de dollars. Les institutions licenciées et leurs responsables qui enfreignent les exigences légales pertinentes pourraient également faire face à des poursuites pénales, avec une peine maximale de 2 ans d'emprisonnement et d'une amende de 1 million de dollars.
3. La Russie pourrait exiger la déclaration des revenus des actifs cryptographiques
La Douma d'État de Russie discute d'un nouveau projet de loi qui pourrait obliger les citoyens russes à déclarer leurs revenus et avoirs en "actifs électroniques" sur des plateformes étrangères. Cette initiative pourrait avoir un impact sur le commerce des cryptomonnaies. Le projet stipule que si le chiffre d'affaires annuel d'un citoyen sur une plateforme numérique étrangère dépasse 7730 dollars, il doit le déclarer à l'administration fiscale nationale. De plus, la loi donne aux législateurs et au service fédéral des impôts le pouvoir de réguler les portefeuilles de cryptomonnaies et les comptes de trading.
4. Les Pays-Bas délivrent pour la première fois des licences de plateformes de cryptomonnaies
L'échange de cryptomonnaies BLOX est devenu la première plateforme de cryptomonnaie destinée au marché de détail à obtenir l'approbation depuis la mise en œuvre de la 5ème directive anti-blanchiment de l'UE (AMLD5) aux Pays-Bas. La société a déclaré qu'elle était la première entreprise de cryptomonnaie enregistrée auprès de la banque centrale néerlandaise, permettant aux consommateurs d'acheter des bitcoins avec un investissement minimum de 1 euro. Cette approbation signifie que la cryptomonnaie reste ouverte au grand public. Aux Pays-Bas, toutes les entreprises autorisées à permettre aux utilisateurs d'acheter, de vendre, d'échanger et de détenir des cryptomonnaies doivent être enregistrées auprès de la banque centrale.
5. La Corée du Sud pourrait exiger des entreprises de cryptomonnaie qu'elles divulguent l'identité des utilisateurs
La Commission des services financiers de Corée pousse pour un amendement législatif qui exigera des prestataires de services d'actifs virtuels nationaux qu'ils signalent les noms réels de leurs clients. Cette mise à jour de la "loi sur le rapport et l'utilisation d'informations financières spécifiques" vise à prévenir le blanchiment d'argent. Selon cette loi, les prestataires de services d'actifs virtuels doivent utiliser des comptes au nom réel lors des transactions financières avec les clients. De plus, ces entreprises doivent ouvrir des comptes au nom réel auprès des institutions financières, séparer les dépôts des clients de leurs propres dépôts et obtenir la certification de sécurité des données de l'Agence coréenne de la sécurité de l'information.
6. Le Venezuela lance une bourse de cryptomonnaie d'État
Le gouvernement vénézuélien a récemment lancé une plateforme d'échange de cryptomonnaies d'État appelée Vénézuéla Exchange (VEX). Cet échange prendra en charge les transactions entre le Petro, le Bitcoin, le Litecoin et le DASH avec le Bolívar. Selon la déclaration de l'organisme de réglementation des cryptomonnaies du Venezuela, Sunacrip, VEX utilisera la "technologie P2P" et pourra être accessible et connecté via l'application de portefeuille cryptographique PetroApp, émise par le gouvernement. Cette initiative montre l'intérêt continu et l'engagement du gouvernement vénézuélien dans le domaine des cryptomonnaies.